Dans le cadre de notre formation du BTSA DATR (Développement Animations des Territoires Ruraux), et durant notre première année notamment, ils nous est demandé de travailler de travailler sur une problématique. Dans le module M22 (S’exprimer, communiquer et comprendre le monde), on nous demande de travailler sur le thème de la « solidarité ». A partir de ce thème, on devait choisir un sous-thème pour en faire une problématique.
J’ai donc choisi de travailler sur le don d’organe dans le monde. J’ai ainsi choisi de travailler sur la problématique suivante : « En quoi, la solidarité lié au dons d’organe ne touche que certains pays ? ». Pour répondre à cette problématique, j’ai eu l’occasion d’utiliser des outils comme Diigo ou encore Twitter. Mais aussi des moteurs de recherche pour pouvoir trouver des articles ou des documents.
Le don d’organe est un prélèvement d’un organe ou d’un tissu d’un corps humain pour soigner des personnes atteintes d’une maladie grave. Le prélèvement est chirurgicale et peu s’effectuer sur des personnes vivantes ou mortes (en état de mort cérébrale).
Dans le monde, tous les pays n’ont pas la même « procédure », les mêmes lois en matière de don d’organe. Dans certains pays comme la France, le don d’organe est purement gratuit. C’est-à-dire qu’on reçoit un organe quand on a une maladie grave (cancer par exemple). Tout le monde est donneur tant qu’on n’a pas dit qu’on ne voulait pas l’être et pour cela il faut s’inscrire sur le registre de refus.
Le plus généralement les organes sont récupérés sur le corps (ou dans le corps) de personne qui sont diagnostiquée en mort encéphalique (mort cérébrale). Pour savoir les volontés du défunt, il faut les demander à la famille ou alors vérifier le registre. Dans certains cas, on peut donner des organes quand on est vivant comme par exemple un bout de foie, un rein, ou encore de la moelle osseuse. Il n’y a pas d’âgé légal pour donner c’est organe et encore moins pour en recevoir.
Dans d’autres pays comme en Tunisie par exemple, 86% des familles s’opposent au prélèvement d’organes sur leur défunt, les causes sont généralement d’ordre religieux, ou la famille doit d’abord se renseigner sur la personne qui va recevoir l’organe pour être sûr qu’elle soit de la même religion,…
La chaîne du don à la greffe :
→ d’abord les équipes médicales essayent de sauver la personne qui est en train de partir puis un certificat de décès est signées.
→ préservation des organes
→ l’équipe médicale cherche à connaître la volonté du défunt
→ des analyses sont ensuite faite pour voir les différentes comptabilités
→ le défunt est amené au bloc pour pouvoir avoir ces organes ou tissus de prélever
→ Les organes sont transportés dans une sorte de « glacière » pour être amener dans un autre bloc opératoire pour le receveur
→ transplantation de l’organe dans le corps du receveur
→ suivi du patient qui a reçu l’organe.
Super article, le don d’organe est trop peu connu mais ne peut laisser indifférent. Cela permet de sauver des vies et faire des progrès fou dans la médecine actuelle ! Félicitation aux hommes et femmes capables de le faire et de le mettre en place.
Article très intéressant, apprendre est très enrichissant.
entièrement d’accord