Pendant notre première année de formation en BTS Développement et Animation des Territoire Ruraux il est prévu dans le cadre du module M22 d’étudier un aspect de la société. C’est dans ce cadre que nous avons étudier le terme de la solidarité
Qu’est ce que la solidarité ?
Le terme “solidarité” vient du latin solidus qui signifie « solide, massif, formant un tout » le fait d’être solidaire dans une relation entre personnes entraînant ainsi une obligation morale d’assistance mutuelle. C’est avant tout un lien qui unit l’individu au reste de la société les rendant ainsi interdépendant. Dans notre société actuel, la solidarité est perçu comme étant positive pour l’individu en lui même comme pour la société. Cette solidarité peut exister de diverse forme. En plus de nos jours, les formes de solidarité se diversifie notamment dans notre société actuelle qui à vu les outils d’action solidaire augmenter en parallèle de la facilité avec laquelle il est possible de participer que ce soit près de chez nous comme à l’échelle international comme par exemple lors des attentats de paris avec le slogan « Je suis Paris » ou encore les dons fait pour la reconstruction de Notre Dame de Paris même si ces derniers sont controversé.
Cependant dans certain cas la solidarité peut avoir des effets néfastes que ce soit en conséquences de cette dernière, à cause d’une utilisation de la solidarité. On peut ainsi prendre pour exemple les régimes totalitaires du siècle précédent tel que le fascisme de Mussolini, le nazisme d’Adolf Hitler ou bien le régime soviétique de Staline qui utilisaient la solidarité comme obligation moral d’obéissance envers le régime et ainsi de dénoncer les individus étant contre les idées du régime comme cela à été le cas en URSS ou le régime manipulait les enfants afin qu’il rapporte les propos de leur parents.
Manipulation de la solidarité à des fins néfastes
Aujourd’hui cette utilisation de la solidarité existe toujours. On peut prendre l’exemple de la radicalisation. Le terme radicalisation désigne à la fois les nationalistes ainsi que les djihadistes. En effet ces processus passe à un moment donné par la solidarité puisque les personnes se radicalisant ne le font jamais seul. C’est souvent un groupe d’ami, de connaissance ayant été confronté à une même situation qu’ils trouvent souvent injuste que ces derniers sautent le pas et entament ce processus de radicalisation. Puis un individus ayant des contacts ayant des idées similaire va leur servir de guide et/ou de recruteur et ainsi exploité cette solidarité afin de garder ce groupe souder et ainsi essayer de crée un sentiment de fraternité.
La solidarité comme valeur d’appartenance.
Dans le monde, la solidarité ou le sentiment de fraternité est énormément utilisé. On peut prendre l’exemple du bizutage. C’est une pratique répandu dans le milieu universitaire te notamment au États-Unis dans les confréries universitaires. Ce bizutage regroupe un ensemble d’épreuve l’accueillant les nouveaux étudiants ou l’entrée au sein de cette fraternité. Cependant les débordements ne sont pas rare. Toutes les année apportent leur lot de violence voir de mort. En 2017 à Valenciennes un étudiant à trouver la mort.
Cependant des organisations utilise cette solidarité envers le groupe comme moyen de cohésion. L’exemple le plus flagrant reste celui de la Mafia japonaise : les Yakuza. Les termes désignant les différentes hiérarchie le montre parfaitement. On trouve les termes traduit en français tel que chef de famille, grand frère, ou encore petit frère. On peut ainsi établir un lien avec la mafia sicilienne puisque l’on désigne un groupe par le terme « famille ». Les membres de ces groupes font passer leur famille ou leur clan avant leur propre famille.
Outre l’utilisation de cette solidarité, pensez-vous que cette dernière à toujours des effets positifs ?
Luc BEQUAIN
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